Dans un live sur sa page Facebook, la comédienne de nationalité ivoirienne donne les vraies raisons de son altercation avec son ex-compagnon, le rappeur camerounais Ténor.
Selon les explications d’Eunice, c’est en fait sa volonté de vouloir mettre Ténor sur les rails qui a mal tourné. « Combien de femmes n’ont jamais essayé de résonner leur homme quand il y a des problèmes ? Mes efforts n’aboutissaient à rien », s’introduit-elle.
Poursuivant, l’Ivoirienne renseigne que le pire est arrivé lorsque Ténor a commencé à parler de leur « intimité devant son collaborateur ». Ainsi, elle « s’est sentie humiliée, rabaissée, sale, vulgaire, mal », confie la comédienne.
« On ne parle pas à une femme de cette manière. Le sexe est sacré, ce n’est pas banal, pour en parler devant les gens. Je l’ai poussé à la porte parce que j’avais honte qu’il parle d’une chose si intime devant une autre personne », se défend-elle avant d’énumérer les défauts de son ex fiancé : « J’ai toujours voulu l’éloigner de l’alcool, de la cigarette, je voulais l’éloigner des vices. Chaque fois que je le laissais avec ses amis, il me revenait soûl…je ne le collais pas, c’était mon rôle de prendre soin de lui. Je n’ai pas fait de cadenas, je n’ai pas violenté quelqu’un… j’ai été abusée, j’ai été blessée… Je suis une victime. Il y a une différence entre action et réaction ! ».
Dans la foulée de son direct, Eunice Zunon révèle que la vidéo relayée sur la toile le 23 aout 2022 aurait été tronquée pour lui faire pour des fins inavouées. D’ailleurs précise Eunice, Tenor est habitué à « l’humilier ».
« De la première vidéo, à la deuxième vidéo, on ne vous dit pas tout. La deuxième vidéo n’est pas une action mais une réaction. On a coupé pour juste vous montrer mon côté négatif. Entre les deux vidéos j’ai été agressée physiquement. Ce n’est pas la première humiliation que j’ai eu de mon ex-compagnon, de ses suiveurs, de son entourage. Je supportais pour le protéger. Cette vidéo date de plus d’un mois. Et je ne suis jamais venue sur les réseaux sociaux me plaindre », affirme-t-elle.