Samuel Eto’o aurait fait perdre plus de 500 millions à Yannick Noah

Dans un article publié lundi 19 Septembre 2022 dans son site internet, le journal panafricain Jeune Afrique explique les dessous du contrat qui liait la Fédération camerounaise de Football (Fecafoot) à l’équipementier Français Coq Sportif dont l’artiste Yannick Noah est le représentant au Cameroun.

Notre confrère renseigne que l’ex footballeur qui dirige actuellement l’instance faitière du football camerounais a refusé de prendre en compte un accord signé sous la présidence de Seidou Mbombo Njoya. En effet, avant le feuilleton Le Coq Sportif, Samuel Eto’o et Yannick Noah avaient déjà été opposés au sujet d’un autre contrat,  toujours en rapport avec la Fecafoot. Le premier avait refusé de d’exécuter un contrat obtenu par le second sous la présidence de  Seidou Mbombo Njoya, le prédécesseur d’Eto’o.

Dans un article publié sur son site le 19 septembre ayant pour titre « Cameroun : pourquoi Samuel Eto’o et  Yannick Noah se font la guerre », Jeune Afrique  rapporte en effet qu’  en Janvier 2022, en marge de la dernière édition de la CAN,  qui se jouait au Cameroun, Samuel Eto’o Fils « a refusé d’endosser » le  contrat « négocié sous le patronage de la Fecafoot par Yannick Noah auprès des Brasseries du Cameroun ».

De la même source, l’on apprend que ledit contrat évalué à 500 millions de FCFA (Environ 762 000 Euros). Selon notre confrère, « il devait notamment  financer une série de concerts de Noah pendant la CAN. Ce dont Eto’o n’a pas voulu entendre parler, estimant que la dotation annuelle destinée à la FECAFOOT n’avait pas vocation à soutenir ce type d’événements. Le projet avait  été annulé », lit-on.

Pour rappel, la rupture unilatérale du contrat de l’équipementier Le Coq Sportif par le président de la FECAFOOT est contestée par l’entreprise française dont Yannick Noah est un actionnaire de poids. Le recours de ce dernier aux plus hautes autorités camerounaises a envenimé la crise entre les deux parties et outré les fans de l’ancien capitaine des Lions Indomptables du Cameroun. Ceux-ci ont constitué une brigade qui lynche depuis quelques jours sur la toile l’ancien tennisman français né d’un père camerounais.

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