Accusée par le rappeur camerounais exilé en Europe, d’être financée par l’État du Cameroun pour ses publications valorisant les richesses culturelles du pays-hôte de la Coupe d’Afrique des Nations 2021, le journaliste algérienne Dounia Mesli a à travers sa page Facebook, fait le point.
En effet, dans une publication sur sa page Facebook, l’artiste rappeur camerounais Valsero critique les publications de la française d’origine algérienne Dounia Mesli depuis son arrivée au Cameroun.
« L’IMPOSTURE. Rappelez-vous des faux observateurs de Transparency International. Ouvrez vos esprits. Vous ne pouvez pas tomber dans la même arnaque mille fois. Utiliser le blanc pour faire avaler au noir un mensonge est une technique vielle comme le monde. Cette nana se fout de vos gueules. Elle fait son job. Elle fait son KILAV aux frais de nos impôts. Elle se sucre comme tous les autres charognards. Avec arrogance. N’a-t-on pas dit que la Can est sucrée, tout le monde la suce. Le loup. », a formulé Valsero.
En réaction à ces accusations, la journaliste a tenu à rassurer l’opinion de ce qu’elle n’est « pas payée par l’état camerounais » et qu’elle est « simplement une journaliste qui essaye de montrer le maximum du football de cette CAN et du Cameroun, avec impartialité ! »
Dans la foulée, elle regret « de lire de tels propos diffamatoires, qui n’ont aucun sens… ». Et de conclure : « Nous avons mis beaucoup d’argent pour la couverture de cette CAN de notre poche et sûrement à perte, mais vivre de tels moments n’a pas de prix ».
Notons que depuis sa venue au Cameroun dans le cadre de la CAN 2021, Dounia Mesli, à travers son travail de valorisation de la destination Cameroun, a recruté une bonne communauté de Camerounais sur ses différentes plateformes dans les réseaux sociaux. Ses contenus sur des riches culturelles camerounaise sont largement partagés sur la toile.